Mardi, jour de Mars. Dieu de la Guerre, il honore les combats et la défense des territoires.
Dans la pratique du Coaching, il y a un territoire qu'il est essentiel de protéger : la déontologie.
Qu'elle soit légale ou non, elle représente le socle d'engagement moral d'une profession, contenant toutes les règles et les devoirs liés à sa pratique.
A ne pas confondre avec l'éthique, qui est construite par l'entreprise en fonction de ses valeurs et de ses limites, la déontologie est un cadre de pratique professionnelle référencé par les organisations régentes du métier (syndicats, conseils, fédération).
Les Branches de Gwezenn construit son code de déontologie sur la base de l'EMCC (European Mentoring and Coaching Council) et de l'ICF (International Coaching Federation). Les principes clés qui le constituent sont :
- le respect du secret professionnel et de la confidentialité des informations partagées dans le cadre de la mission de Coaching,
- l'égalité dans la considération et l'accueil des clients (sexualité, genre, origines ethnique et sociale, âge, religion),
- la garantie d'une supervision de la pratique professionnelle,
- l'engagement d'une mise à disposition de moyens techniques et de compétences adéquats pour l'accompagnement du client, ce qui peut induire un refus de Coaching et une réorientation vers un collègue si la demande sort du périmètre d'expertise des Branches de Gwezenn,
- le refus de jouer de conflits d'intérêt ou d'abus d'influence.
En tant que client d'une proposition de Coaching, il est nécessaire que vous demandiez à consulter le code de déontologie de l'entreprise que vous engagez, que ce soit les Branches de Gwezenn ou autre, car cela vous garantit d'être suivi et accompagné par un professionnel qui est lui-même encadré et suivi par des superviseurs et d'autres experts du métier.
La déontologie fait partie des racines des Branches de Gwezenn et en nourrit sa construction : certifications, supervisions et amélioration continue.
(Photo : allée couverte de Tréal, Saint-Just)
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